Bonjour,



Je vous contacte car je ne suis pas du tout content du service de Proximus. J'ai passé commande d'un nouveau téléphone + abonnement le 27 août par votre service clients téléphonique. La livraison a été planifiée pour le 01 septembre, date à laquelle nous avons reçu un message de votre compagnie de logistique nous indiquant qu’ils n’avaient toujours pas reçu de colis de Proximus et qu’ils étaient dans l’incapacité de me livrer. Nous avons repoussé la livraison au 5 septembre et j’ai reçu une seconde fois le même message. J’ai contacté l’entreprise de logistique puis Proximus plusieurs fois, en passant à chaque fois beaucoup de temps au téléphone avant qu’une plainte soit créé par Proximus (n° de plainte 27889653). Au téléphone on m’a indiqué que je serai contacté dans les 48h. Comme je n’ai toujours rien reçu, j’ai de nouveau contacté les équipes Proximus par 2 fois : la première fois on m’a indiqué que le traitement de la plainte pouvait prendre jusqu’à 7 jours, et la deuxième fois j’apprends qu’en réalité cela pouvait prendre jusqu’à 10 jours ouvrables. Durant tout ce temps je n’ai pas de GSM car j’ai résilié mon précédent abonnement chez un autre opérateur afin de passer chez Proximus. Je n’ai donc pas de GPS et cela m’handicape énormément dans mon travail. Il va sans dire que je suis profondément déçue par le service client de Proximus et suis très mécontente du traitement reçu :

- Manque de professionnalisme dans les réponse (pas de délai de résolution clair) et pas de réponse claire sur la résolution de ce problème

- Délais incroyablement longs alors que j’ai souscris à une offre phare du moment



Je souhaite que ce problème soit résolu au plus tard dans les 3 jours et bénéficier d’un geste commercial de votre part pour compenser ce désagrément. Je suis client régulier chez Proximus et ai déjà un pack TV+Téléphone+internet+GSM que je considérerais de contracter chez un autre opérateur en plus d’annuler ma commande de nouveau GSM si ma requête n’est pas traitée au plus vite.



Merci d’avance pour votre attention,

François Lavoir